Ces multinationales criminelles doivent être punies

Le roi Édouard V111 étaient avec Hitler, Joseph Kennedy (le père de J.F. et de Robert), Prescott Bush le grand-père de Bush, ....... Karl Marx a vécu 33 années à Londres protégé des Britanniques et y est mort: les aristocrates avaient besoin de pays prolétaires. Napoléon 111 est aussi mort en Angleterre; Freud aussi..... Londres, lieu des magouilles internationales: est le siège social de l'Opus Dei, de Rio Tinto, des Frères Mulusmans......
C'était tout le Commerce International qui était complice, et Hitler n'était qu'un pion de ces 4 rois cousins germains: le roi d'Angleterre Georges V, l'Empereur Guillaume 11 d'Allemage, le roi Belge Albert 1er, le Tsar de Russie Nicholas 11.......



Il faut se méfier de la première impression, elle est souvent la bonne. Ce matin, très tôt, en apprenant la mort de Ben Laden, nous n'y avions cru qu'à moitié. A cette heure, après avoir écouté cette « storytellling » digne d'Hollywood, nous n'y croyons plus.
L' histoire ne tient pas la route.
Le Pakistan, état indépendant jusqu'à preuve du contraire, n'était pas au courant, c'est le Président Obama qui aurait annoncé l'action de ses soldats à son homologue pakistanais. Impensable sur le plan diplomatique !
Ben Laden se cachait dans une résidence d'Abbotabad, à quelques kilomètres de la capitale Islamabad, loin des zones tribales où ce dernier bénéficiait depuis toujours d'appuis inconditionnels. Il était sans doute un terroriste sanguinaire, mais de là à en faire un naïf qui va se terrer là où rien ne peut lui être assuré, il y a une marge que nous ne franchissons pas.
Le scénario de l'intervention relève des modèles idéaux exposés dans les académies militaires: deux hélicoptères, commandos équipés de visions nocturnes, quarante minutes d'intervention sans que les forces pakistanaises ne se manifestent, alors qu'une caserne se trouvait à proximité, peu de morts parmi les compagnons de Ben Laden et exfiltration de son corps.
Pas un soldat américain égratigné !
Ben Laden, qu'ils voulaient capturer, aurait été abattu parce qu'une femme lui servait de bouclier vivant, on soulignera toute la symbolique machiste de cette manœuvre...
Et puis, l'histoire épouse les formes d'un scénario écrit dans un bureau du Pentagone.
Un hélicoptère a des problèmes techniques (il ne faut pas que cela soit trop parfait !), le commando le détruit et embarque à bord du deuxième, lequel, forcément en surcharge, rejoint un porte-avion qui croise au large du Pakistan, soit à mille cinq cents kilomètres de là ! Sur le plan technique, c'est plus que douteux.
Et puis, pas de photos. Rien ! Alors que la mort du plus insignifiant des terroristes nous valait des clichés sous tous les angles et ad nauseam, rien de tout ça. Le corps de Ben Laden, à peine débarqué sur le porte-avion est lavé et une cérémonie musulmane a lieu (quarante minutes, notez la précision, un temps identique à celui de l'intervention), avant d'être immergé dans l'océan. Les Américains prétendent avoir respecté, ce faisant, le rite musulman. C'est faux, mais pour le citoyen de Columbus, Ohio, l'Amérique est un pays civilisé qui respecte le corps de ses ennemis.
Voilà, la page est tournée, il n'y a plus rien à voir, circulez !
Ben Laden, déjà en 2001 était malade, il devait être dialysé régulièrement et ce n'est pas un hasard si son collaborateur le plus proche, Ayman Al-Zawahari, son successeur présumé, était aussi son médecin personnel. Tous les services secrets le savaient
Il était même tellement malade que fin 2001 on le donne pour mort. Et beaucoup y croient.
En fait, il serait mort entre 2003 et 2007. On peut tirer ces conclusions à l'analyse de ses vidéos. Après 2007, il n'apparaît plus, même pas en photo. Les messages ultérieurs révèlent une voix différente dont le tonus est radicalement différent de celui du fondateur d'Al Qaida..
Alors pourquoi annoncer sa mort le 1er mai 2011 ?
Cherchez l'élection présidentielle américaine de 2012.
Mais il n'y a pas que cela...
Ben Laden vivant était la bonne excuse pour justifier les opérations militaires en Afghanistan et en Irak. Pour les Etats-Unis, le rappel de la chasse à, l'homme qui massacra plus de trois mille de leurs compatriotes en 2001 faisait taire l'opposition à cette aventure militaire qui stagnait sans résultats et à un coût énorme.
Lui mort, le désengagement peut se faire « dans l'honneur ».
Ben Laden, symbole de la résistance à l'impérialisme occidental pour une grande partie de la rue arabe, a fait long feu. Cette dernière a d'autres préoccupations, d'autres espoirs que le djihad islamique. L'image est éculée, elle ne fait plus recette, le moment était venu de balancer l'icône à l'eau ans faire de vagues. Ce qui fut fait.
En prime, une satisfaction donnée au citoyen lambda occidental qui ne demande qu'à croire à cette belle histoire où le bon finit toujours par tuer le méchant.
Les peuple sont comme des enfants, ils aiment les « happy end »....
Et si jamais Ben Laden ressuscite, ce sera un miracle de plus.
A mettre à l'actif de Jean-Paul II qui en a besoin d'un !
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Joli exercice de style auquel Slate.fr s’est livré dès le lundi de la mort de Ben Laden : le site parodie en un même mouvement les suivis en “live” de la journée de lundi (comme par exemple celui du Monde.fr) mis en place par les sites d’information et les théories du complot qui n’ont pas tardé à fleurir sur le Web, pour affirmer que la mort d’Oussama Ben Laden est un mensonge de l’administration Obama.
Comme l’audace a ses limites et que le sujet est hautement sensible, Slate.fr affiche d’entrée un “disclaimer” rappelant que “cet article est une parodie des théories du complot sur le 11-Septembre, merci d’en tenir compte”.
S’ensuit une recension, minute par minute, des “faits troublants” démasquant la manipulation. Extraits :
“9 h : Des complicités dans la presse
Quelques heures après l’annonce d’Obama, la page d’accueil de Slate.fr est déjà remplie d’articles fouillés sur Oussama Ben Laden. Chacun sait que les journalistes se lèvent vers 8 h, écoutent France Inter pendant une bonne heure et arrivent seulement ensuite au travail. Il n’est matériellement pas possible que ces articles aient été écrits ce matin. La preuve est faite que les médias ont été mis au courant par le gouvernement américain de l’imminence d’une opération de communication annonçant la mort de Ben Laden.”
“13 h 45 : Troublante concordance avec la mort de Hitler
La mort du dictateur nazi a été annoncée officiellement le 1er mai 1945, soit exactement soixante-six ans avant l’annonce de celle de Ben Laden par Barack Obama. Coïncidence ? Nous ne pensons pas.”
“19 h 25 : La mer est trop loin d’Abbottabad !
Comme nous le signale dans les commentaires Statler, «IL N’Y A PAS LA MER A ABBOTTABAD !!!!», le lieu où aurait été tué Ben Laden. En effet, on se demande comment un simple hélicoptère a pu rejoindre l’océan Indien pour jeter le corps du chef d’Al-Qaida ? Pourquoi ne pas l’avoir plutôt jeté dans l’Himalaya, plus proche, et l’avoir laissé aux yacks plutôt qu’aux requins ? Mystère.”
La loufoquerie des remarques n’est pas uniquement le fait des auteurs de l’article. Elle s’appuie sur des commentaires repérés sur les réseaux sociaux et les sites d’information, et les théories développées par les conspirationnistes dès avant la mort du chef d’Al-Qaida. Comme cette vidéo montrant que Barack Obama et Oussam Ben Laden…ne forment qu’une seule et même personne.
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BIO ÉTHANOL POLLUE